Le Grand défi de littérature québécoise 2019

Quelques idées de lecture pour le Grand défi de littérature québécoise

Sans avoir de plan totalement défini, j’ai évidemment déjà quelques idées de lecture pour le Grand défi de littérature québécoise 2019. Rien n’est coulé dans le béton et il n’est pas garanti que je lise tous ces livres, mais je me suis dit que je partagerais ce petit aperçu en espérant que cela puisse en inspirer d’autres.

Le Grand défi de littérature québécoise 2019
Le Grand défi de littérature québécoise 2019

Les maisons d’édition qui me font de l’œil

Alire

Alire est une maison d’édition basée à Lévis au Québec spécialisée dans les genres suivants : science‑fiction, fantasy, fantastique, horreur, polar et roman d’espionnage. Probablement la maison d’édition québécoise la mieux représentée dans ma bibliothèque en ce moment, il n’est pas étonnant que nombreux de ses ouvrages et auteurs figurent sur mon programme.

VONARBURG, Élisabeth, Les Voyageurs malgré eux, Lévis, Alire, 2009, 560 p.
VONARBURG, Élisabeth, Les Voyageurs malgré eux, Lévis, Alire, 2009, 560 p.

En premier lieu, j’ai évidemment pensé à celle que plusieurs appellent la grande dame de la SF québécoise, j’ai nommé *roulement de tambours* Élisabeth Vonarburg (avec un S, pas un Z). J’ai déjà lu plusieurs ouvrages de l’auteure, que j’ai tous appréciés : Les voyageurs malgré eux, Sang de pierre, Le Jeu des coquilles de Nautilus et La Musique du soleil. Le Grand défi est une excellente occasion de poursuivre ma découverte de son œuvre, puisque Vonarburg est éligible à plusieurs catégories : science-fiction, recueil de nouvelles, « E » comme première lettre du prénom, auteur(e) né(e) entre 1945 et 1949, etc. En termes de nouvelles, il reste un recueil publié par Alire que je n’ai pas lu, soit La maison au bord de la mer. Pour ce qui est de ses romans, je suis particulièrement intéressée par Chronique du Pays des Mères et Le silence de la cité, dont j’ai entendu dire beaucoup de bien. Enfin, j’envisageais aussi de peut-être commencer la série Tyranaël avec Les rêves de la mer.

Lus

  • VONARBURG, Élisabeth, Les Voyageurs malgré eux, Lévis, Alire [Québec Amérique], 2009 [1994], 560 p. [avis lecture]
  • VONARBURG, Élisabeth, Le Jeu des coquilles de Nautilus, Lévis, Alire, 2003, 305 p.
  • VONARBURG, Élisabeth, Sang de pierre, Lévis, Alire, 2009, 373 p.
  • VONARBURG, Élisabeth, La Musique du soleil, Lévis, Alire, 2013, 280 p.

À lire

  • VONARBURG, Élisabeth, Les rêves de la mer (Tyranaël, 1), Lévis, Alire, 1996, 388 p.
  • VONARBURG, Élisabeth, Le silence de la cité, Lévis, Alire [Denoël], 1998 [1981], 342 p.
  • VONARBURG, Élisabeth, Chronique du Pays des Mères, Lévis, Alire [Québec Amérique], 1999 [1992], 644 p.
  • VONARBURG, Élisabeth, La Maison au bord de la mer, Lévis, Alire, 2000, 292 p.

McALLISTER, Laurent, Suprématie, Paris, Bragelonne, 2009, 672 p.
McALLISTER, Laurent, Suprématie, Paris, Bragelonne, 2009, 672 p.

Un autre auteur de la maison d’édition que j’ai beaucoup lu est Yves Meynard, que je prévois lire pour la lettre « Y » du volet « Première lettre du prénom ». Je l’ai découvert à travers sa collaboration avec Jean-Louis Trudel sous le nom de plume Laurent McAllister, d’abord avec Suprématie, qui figure parmi mes romans favoris, puis avec Les leçons de la cruauté, dans ma liste des « Best of » de la science-fiction. J’ai ensuite lu son recueil de nouvelles L’Enfant des Mondes Assoupis, que j’ai aussi beaucoup aimé, puis Les marches de la lune morte. Il ne me resterait plus donc qu’à lire son Livre des chevaliers si ce n’était de la toute nouvelle parution de Chrysanthe 1. La Princesse perdue.

Lus

  • McALLISTER, Laurent, Suprématie, Paris, Bragelonne, 2009, 672 p. [avis lecture]
  • McALLISTER, Laurent, Les leçons de la cruauté, Lévis, Alire, 2009, 243 p. [avis lecture]
  • MEYNARD, Yves, L’Enfant des Mondes Assoupis, Lévis, Alire, 2009, 369 p. [avis lecture]
  • MEYNARD, Yves, Les marches de la lune morte, Lévis, Alire, 2015, 627 p.

À lire

  • MEYNARD, Yves, Le livre des chevaliers, Lévis, Alire, 1999, 324 p.
  • MEYNARD, Yves, Chrysanthe 1. La Princesse perdue, Lévis, Alire, 2018, 304 p. [avis lecture]

Un auteur plus récent, lui aussi publié chez Alire et qui figure au top de ma liste des auteurs à suivre, que je souhaite lire dans le cadre du volet « Région administrative où se déroule l’action », catégorie « Abitibi-Témiscamingue », est Éric Gauthier. J’ai lu de lui Montréel, qui fait partie de mes romans préférés, et La grande mort de Mononc’ Morbide, dans le top de mes lectures de 2016. Je n’ai toutefois jamais lu son premier roman, Une fêlure au flanc du monde, et le Grand défi est la parfaite occasion.

Lus

  • GAUTHIER, Éric, Montréel, Lévis, Alire, 2011, 608 p.
  • GAUTHIER, Éric, La grande mort de Mononc’ Morbide, Lévis, Alire, 2015, 536 p.

À lire

  • GAUTHIER, Éric, Une fêlure au flanc du monde, Lévis, Alire, 2008, 548 p.

Je ne suis pas une fan des romans d’horreur, mais j’ai déjà lu et apprécié Le passager de Patrick Sénécal et j’ai toujours été intriguée par Aliss. Est-ce que le Grand défi sera le coup de pouce qu’il me faut pour me lancer dans cette lecture?

Lus

  • SÉNÉCAL, Patrick, Le passager, Lévis, Alire, 2003 [1995], 214 p. [avis lecture]

À lire

  • SÉNÉCAL, Patrick, Aliss, Lévis, Alire, 2018 [2000], 521 p.

Enfin, deux auteures que je n’ai jamais lu, mais dont les romans m’intriguent : Ariane Gélinas, avec Les cendres de Sedna pour la région administrative « Côte-Nord », et Marie Bilodeau, avec Le sang de Mirial, premier tome de la trilogie de science-fiction du Mirial.

  • GÉLINAS, Ariane, Les cendres de Sedna, Lévis, Alire, 2016, 244 p.
  • BILODEAU, Marie, Le sang de Mirial (Mirial, 1), Lévis, Alire, 2016, 516 p.

Les six brumes

REYNOLDS, Jonathan, Ombres, Sherbrooke, Les Six Brumes, 2002, 192 p.
REYNOLDS, Jonathan, Ombres, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Six Brumes », 2002, 192 p.

Les Six Brumes est une maison d’édition indépendante tenue par des bénévoles spécialisée dans les littératures de l’imaginaire. L’éditeur publie de nombreux auteurs de la relève et a contribué à faire connaître plusieurs auteur(e)s comme Dominic Bellavance, dont j’ai lu le premier tome de la série de fantasy Alégracia, soit Alégracia et le Serpent d’Argent; Jonathan Reynolds, dont j’ai déjà publié une review pour Ombres ou Ariane Gélinas, que j’ai nommé ci‑dessus pour Les cendres de Sedna. Chez l’éditeur, j’ai aussi lu l’excellent Dix ans d’éternité, une anthologie des textes de l’imaginaire paru dans fanzine Brins d’éternité au cours de leur dix premières années d’existence.

Pour le Grand défi de littérature québécoise, j’ai sur mon radar : Au rendez-vous des courtisans glacés de Frédérick Durand, éligible pour la région administrative de la Mauricie; Le sabbat des éphémères d’Ariane Gélinas, peut-être pour le recueil de nouvelles; Flyona de Caroline Lacroix pour la novella; et La légende de McNeil de Jonathan Reynolds pour la région administrative de l’Estrie.

Lus

  • BELLAVANCE, Dominic, Alégracia et le Serpent d’Argent [Alégracia, 1], Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Six Brumes », 2005, 439 p.
  • COLLECTIF, Dix ans d’éternité, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Brumes de légende », 2014, 383 p.
  • REYNOLDS, Jonathan, Ombres, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Six Brumes », 2002, 192 p. [avis lecture]

À lire

  • DURAND, Frédérick, Au rendez-vous des courtisans glacés, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Brumes de légende », 2016, 218 p.
  • GÉLINAS, Ariane, Le sabbat des éphémères, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Nouvelles », 2014, 161 p.
  • LACROIX, Caroline, Flyona, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Nova », 2013, 60 p. [avis lecture]
  • REYNOLDS, Jonathan, La légende de McNeil, Sherbrooke, Les Six Brumes, coll. « Nova », 2011, 97 p.

Les éditions de ta mère

Les éditions de ta mère est une « jeune maison d’édition qui a pour mission de publier des auteurs proposant des visions personnelles et singulières du monde, le tout en utilisant des formes littéraires tout aussi uniques qu’inventives et en touchant à des domaines aussi variés que le théâtre, le roman, la nouvelle ou la poésie » (« La mission », Les éditions de ta mère, https://www.tamere.org/qui-est-ta-mere/la-mission/, page consultée le 10 septembre 2018).

Je n’ai pas encore lu d’ouvrages de cet éditeur, mais cela fait un moment qu’il me fait de l’œil. Je compte bien remédier à la situation bientôt avec Le crépuscule des superhéros pour le collectif de nouvelles (ou comme essai?); Ceci n’est pas une histoire de dragons de Mathieu Handfield, probablement pour le prénom commençant par « M »; et Royal de Jean-Philippe Baril Guérard, sûrement pour la lettre « J ».

À lire

  • BARIL GUÉRARD, Jean-Philippe, Royal, Montréal, Les éditions de ta mère, 2016, 296 p.
  • COLLECTIF, Le crépuscule des superhéros, Montréal, Les éditions de ta mère, 2016, 242 p. [avis lecture]
  • HANDFIELD, Mathieu, Ceci n’est pas une histoire de dragons, Montréal, Les éditions de ta mère, 2010, 284 p.

Le Quartanier

ARSENAULT, Mathieu, La vie littéraire, Montréal, Le Quartanier, coll. « Série QR », 2014, 112 p.
ARSENAULT, Mathieu, La vie littéraire, Montréal, Le Quartanier, coll. « Série QR », 2014, 112 p.

Le Quartanier est une maison d’édition québécoise basée à Montréal publiant des romans de littérature générale, de la poésie, des essais et des romans pour la jeunesse. Depuis quelques années, l’éditeur a su se faire remarquer. Pourtant, je n’ai pas lu de Quartanier lus jusqu’à présent, à l’exception de La vie littéraire de Mathieu Arsenault, ce que je vise à rectifier. Je passais en revue leur catalogue et il me semble tout à fait intéressant. Pour le moment, j’ai Le plongeur de Stéphane Larue (prénom en « S », littérature générale, année de naissance 1980-84) dans ma ligne de mire pour la catégorie du « Prix des libraires » et La dévoration des fées de Catherine Lalonde (prénom en « C », année de naissance 1970-74) comme recueil de poésie.

Lu

  • ARSENAULT, Mathieu, La vie littéraire, Montréal, Le Quartanier, coll. « Série QR », 2014, 112 p. [compte rendu critique]

À lire

  • LARUE, Stéphane, Le plongeur, Montréal, Le Quartanier, 2016, 580 p.
  • LALONDE, Catherine, La dévoration des fées, Montréal, Le Quartanier, 2017, 148 p. [avis lecture]

Les auteurs qui me font de l’œil

Les auteurs lus et à relire

Catherine Mavrikakis

D’abord, il faut s’attendre à beaucoup de Catherine Mavrikakis. J’ai déjà lu Le ciel de Bay City, Ça va aller et Ce qui restera, que j’ai adorés, et Mavrikakis compte depuis parmi mes auteur(e)s favori(te)s. Comme il me reste nombre de ses œuvres à lire et que l’auteure est éligible dans plusieurs catégories (prénom commençant par la lettre C ; année de naissance 1960‑1964 ; littérature générale ; science-fiction ; essai, etc.), je vois beaucoup de Mavrikakis dans mon avenir.

Lus

  • MAVRIKAKIS, Catherine, Le ciel de Bay City, Montréal, Héliotrope, 2008, 291 p. [avis lecture]
  • MAVRIKAKIS, Catherine, Ça va aller, Montréal, Bibliothèque québécoise [Leméac Éditeur], 2013 [2002], 168 p. [avis lecture]
  • MAVRIKAKIS, Catherine, Ce qui restera, Montréal, Québec Amérique, coll. « III », 2017, 130 p. [avis lecture]

À lire absolument

  • MAVRIKAKIS, Catherine, Condamner à mort. Les meurtres et la loi à l’écran, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, coll. « Champ libre », 2005, 164 p.
  • MAVRIKAKIS, Catherine, Oscar De Profundis, Montréal, Héliotrope, 2016, 330 p. [avis lecture] [analyse]

Wadji Mouawad

Wadji Mouawad est l’auteur de ma pièce préférée, Incendies. Le Grand défi est une belle occasion de lire davantage du cycle du Sang des promesses, notamment Littoral et Forêts, puisque l’auteur est éligible aux catégories « Théâtre » et « Première lettre du prénom, W ».

Lu

  • MOUAWAD, Wajdi, Incendies (Le sang des promesses, 2), Montréal, Leméac/Actes Sud, coll. « Babel », 2009, 170 p. [analyse théâtrale]

À lire

  • MOUAWAD, Wajdi, Littoral (Le sang des promesses, 1), Montréal, Leméac/Actes Sud, coll. « Actes Sud-Papiers », 1999, 135 p.
  • MOUAWAD, Wajdi, Forêts (Le sang des promesses, 3), Montréal, Leméac/Actes Sud, coll. « Actes Sud-Papiers », 2006, 108 p.

France Théoret

Bloody Mary

THÉORET, France, Bloody Mary; suivi de Vertiges; Nécessairement putain; Intérieurs, Montréal, Éditions de l’Hexagone, 1992.

Bloody Mary de France Théoret est mon recueil de poésie préféré à ce jour. Éligible pour la lettre « F » et l’année de naissance 1940-44, je suis intéressée par ses oeuvres plus récentes : Cruauté du jeu, Le théâtre de DieuLes querelleurs et Nous parlerons comme on écrit.

Lu

  • THÉORET, France, Bloody Mary; suivi de Vertiges; Nécessairement putain; Intérieurs, Montréal, Éditions de l’Hexagone, 1992. [avis lecture]

À lire

  • THÉORET, France, Cruauté du jeu, Trois-Rivières, Les Écrits des Forges, 2017, 84 p. [avis lecture]
  • THÉORET, France, Le théâtre de Dieu, Montréal, Leméac Éditeur, 2018, 96 p. [avis lecture]
  • THÉORET, France, Les querelleurs, Chicoutimi, La Peuplade, 2018, 152 p.
  • THÉORET, France, Nous parlerons comme on écrit, Montréal, Les Herbes rouges, coll. « Territoires », 2018, 232 p. [avis lecture]

Nelly Arcan

Nelly Arcan figure déjà parmi les grands noms de la littérature québécoise. J’ai d’abord lu Folle, qui m’avait légèrement déçu, puis Putain [l’éditeur ne le montre plus sur leur site?] que j’ai vraiment adorée. Le concept de Paradis, clef en main m’a toujours intrigué. Je lirai Arcan pour la lettre « N » ou l’année de naissance 1970-74.

Lus

  • ARCAN, Nelly, Putain, Édition du Seuil, 2002 [2001], 182 p.
  • ARCAN, Nelly, Folle, Édition du Seuil, 2004 [2001], 204 p.
  •  

À lire

  • ARCAN, Nelly, Paradis, clef en main, Montréal, Les 400 coups, coll. « Coups de tête », 2009, 249 p. [avis lecture] [extrait]

Pierre-Luc Lafrance

J’ai lu le désopilant et brillant roman pour enfants qu’est Y a-t-il un héros dans la salle? de Pierre-Luc Lafrance. Princesse à enlever se déroule dans le même univers et j’ai toujours voulu lire. Le livre comptera pour « Roman jeunesse 6-8 ans ».

Lu

  • LAFRANCE, Pierre-Luc, Y a-t-il un héros dans la salle?, Saint-Lambert, Soulières, coll. « Graffiti », 2004, 184 p. [avis lecture]

À lire

  • LAFRANCE, Pierre-Luc, Princesse à enlever, Saint-Lambert, Soulières, coll. « Chat de gouttière », 2005, 108 p.

André Marois

J’ai lu il y a quelques années le premier tome de la série de science-fiction jeunesse des Voleurs d’André Marois, soit Les voleurs d’espoir. Il m’était apparu qu’il s’agissait d’un roman jeunesse très intelligent. J’ai appris tout récemment qu’il y avait d’autres livres se déroulant dans le même univers. Ainsi, je prévois lire Les voleurs de mémoire (Les voleurs, 2) comme roman jeunesse 12-15 ans.

Lu

  • MAROIS, André, Les voleurs d’espoir (Les voleurs, 1), Montréal, La courte échelle, 2013 [2001], 158 p. [avis lecture]

À lire

  • MAROIS, André, Les voleurs de mémoire (Les voleurs, 2), Montréal, La courte échelle, 2013, 254 p. [avis lecture]

Les auteurs jamais lus, mais à lire

La poésie de Saint-Denys Garneau (année de naissance 1910-14) et Émile Nelligan (année de naissance 1875-79);

Kim Thùy, pour l’année de naissance 1965-69, parce que je vis apparemment sous une roche et ne l’ai jamais lu. J’ignore par quel roman je devrais commencer toutefois;

Vickie Gendreau, pour la lettre « V », mais je ne sais pas trop quel roman choisir;

Simon Boulerice, recommandé par MAPS avec Moi aussi j’aime les hommes, pour la catégorie LGBT et peut-être pour la littérature jeunesse, par exemple avec Victor, et la lettre S.


J’espère que cela vous a donné quelques idées de lecture. Sinon, vos suggestions de lecture sont les bienvenues, notamment en ce qui concerne les derniers auteur(e)s nommé(e)s. Des conseils BD seraient également très appréciés, car je ne connais pas vraiment le domaine et ne sait donc même pas où chercher pour dénicher une BD de qualité.

2 commentaires

  1. Joelle Rivard

    Merci pour les suggestions! Pour les BD genre SF&F je te suggère de regarder du côté de studio Lounak. Jeik Dion, Michel Falardeau et Cab sont parmi mes bédéistes préférés.

Laisser un commentaire